L’aéronautique expérimenté par les Africains anciens.

Une maquette de planeur vieille de deux mille ans, construite par les anciens egyptiens à été découverte en Afrique par des scientifiques de la N.A.S.A.

La découverte de Khalil Messiha, à savoir une maquette d’avion en forme d’oiseau, semble indiquer que les Africains anciens avaient déjà saisit les principes de base des planeurs, dès le 5ème ou 4ème siècle avant Jésus-Christ.

Un texte basé sur plusieurs pièces reliées et présentées par un officier de la NASA, confirme cette découverte. Cette maquette extraordinaire avait tout d’abord été simplement rangée parmi des modèles d’oiseaux au Musée Égyptien. Construite en bois de platane, elle date de plusieurs centaines d’années avant J. C. et a été découverte à Sakkarah en 1898.

Ainsi, les membres du Comité International de l’Éducation Aérospatiale qui se rencontrèrent au Caire pour la première fois à l’occasion d’un colloque, eurent une sacrée surprise en visitant « l’Égyptien Museum ». Grande fut leur stupéfaction de découvrir ce qui semble être la maquette d’un aéroplane vieux de 2 300 ans.

Lorsque cette maquette fut découverte au 19ème siècle lors d’une campagne de fouilles, on ne savait pas grand chose des aéroplanes et la pièce fut naturellement rangée parmi d’autres modèles d’oiseaux.

Pendant plusieurs années, elle fut ainsi conservée dans une boîte de verre, jusqu’à ce qu’un jeune physicien et artiste Égyptien nota qu’elle était différente des autres modèles d’oiseaux en bois.

C’est en 1969, que le Dr Khalil Messiha, découvrit cette maquette aux formes spéciales, alors qu’il visitait le musée avec d’autres chercheurs. La différence était claire à ses yeux, car les queues des oiseaux sont horizontales et là, la queue est verticale. La maquette a aussi des ailes différentes des autres oiseaux. Les siennes se rapprochent de celles d’un avion. Notre découvreur, qui était aussi un grand amateur de maquettes d’avions, distingua ce modèle particulier des autres formes d’oiseaux qui l’entouraient. Des archéologues et scientifiques du monde furent invités pour étudier cette pièce inattendue qui sans aucun doute change l’histoire de l’aviation.

Pour les archéologues, vu que les avions n’existaient pas en Afrique noire à cette époque, la découverte avait vite été classée en tant que « figurine d’oiseau en bois » dans le  » rayon jouets « , sous le n° 6 347 au sous-sol du musée du Caire.

Voilà donc ses caractéristiques décrites dans le rapport :

– Formes aérodynamiques comparables aux planeurs modernes.

– L’avion en sycomore léger pèse 39 grammes, pour 14 centimètres de longueur et 18 d’envergure.

– Ailes en dièdre inverse, ce qui procure une grande stabilité en vol.

– Queue verticale et non horizontale.

– Inscription portée en hiéroglyphes sur l’avion :  » don d’Amon « , soit  » don de Dieu « .

– Fuselage parfaitement  » centré  » ( centre de gravité situé au tiers de la corde de l’aile ).

Les répliques en balsa qui ont été faites par les chercheurs à partir de ces caractéristiques ont effectivement pu voler. Ceci, en rajoutant simplement une pièce fendue à l’endroit marqué sur la queue faisant office de gouvernail de profondeur.

Cette maquette est maintenant officiellement classée comme maquette d’avion, en compagnie d’une quinzaine d’autres pièces archéologiques. Ils ont fait l’objet d’une exposition spéciale au musée du Caire en 1972.

( Complément d’infos : Texte officiel de la découverte, le Dr. Khalil Messiha, le Dr. Gamal Mokhtar et Michaël Fren ; Sur le sujet Cf. l’ouvrage, ‘ La philosophie africaine de la période pharaonique ‘ du professeur Théophile Obenga )

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