La période grecque en Égypte : Crimes et intrigues

L’Histoire d’une famille, parsemée de meurtres, d’intrigues et de multiples mariages

L’idéologie occidentale mensongère, raciste, xénophobe et Judéo-blanco-biblique, nous présente la période grecque en Égypte comme un apport bénéfique à l’Histoire de Kémèt (Égypte antique). Avec l’invasion de Kémèt par ces étrangers et usurpateurs européens à la Basse époque, nous pouvons parler de l’installation de crimes et d’assassinats de façon systématique au sein du Palais royal. Nous pouvons affirmer que ces étrangers nordiques ont énormément accentué la décadence de Kémèt ; décadence initiée dès le sac de Thèbes par les Assyriens (encore des étrangers barbares).

Sommaire

– Avant-propos

– Les Crimes et les Intrigues

– La Laideur de Cléopâtre VII

– La Révolte des Égyptiens

– L’importance du « Nom de Naissance » à Kémèt face au « Nom de Couronnement »

– En guise de Conclusion…[page]

> Avant-Propos

Parmi les mensonges de l’Idéologie occidentale raciste, xénophobe et judéo-blanco-biblique, nous trouvons en bonne :

– le « Miracle grec » : il n’existe pas ! Cachant le fait que les « grands » grecs anciens sont venu faire leurs études en Afrique, les historiens européens modernes ont menti.

– les grecs « premiers penseurs » : c’est faux ! Cachant le fait que les grecs anciens ont reconnus qu’ils avaient été élève en Égypte, les historiens européens ont menti. Les Civilisations de la Vallée du Nil, de Sumer et de la vallée de l’Indus, ont précédé la Civilisation grecque par de nombreux siècles. Aujourd’hui, l’un des meilleurs spécialistes européens de la langue grecque, Jean-Victor Vernhes, reconnais dans son livre intitulé « Initiation au Grec ancien » (certainement le livre le plus utilisé en France pour apprendre le grec ancien) à la page VII : « VIIe siècle. C’est l’époque des plus ancienne inscriptions grecques connues de nous. Un nouvel alphabet grec est apparu, emprunté à l’alphabet phénicien, pour des besoins d’abord commerciaux, puis littéraires. » Peut-on être « les premiers penseurs » et être incapable de créer son propre alphabet ? de toute évidence, les historiens européens modernes ont menti.[page]

– « L’Égypte est le don du Nil » : Cette phrase n’est pas attestée dans l’Antiquité ! Aujourd’hui, nous lisons cette phrase dans tous les livres européens et dans les dépliants touristiques. En réalité, la phrase d’Herodote est celle-ci : « La région de l’Égypte où les Grecs se rendent en bateau (le delta) est une terre qui s’ajouta au pays des Égyptiens, un présent du fleuve ». (Hérodote, Histoires, livre II, 5) Donc, en réalité, c’est : « Le delta est un don du fleuve ». C’est une terre qui s’est ajoutée au pays qui existait déjà. Aujourd’hui, c’est un fait scientifique prouvé parce que le professeur Labeyrie (Physicien) a prélevé des carottes et a fait des datations au C14 qui confirment ce que Hérodote d’Halicarnasse disait cinq siècles avant notre ère. Si le delta n’existait pas, pourquoi parle-t-on de carrefour de civilisations lorsque l’on parle de Kémèt. Les historiens européens modernes ont menti.

– On nous parle aussi de « grandeur d’Alexandre », « de beauté de Cléopâtre ». On nous dit que les grecs furent « bien accueillis en Égypte », etc…. Tout cela est faux. Les noms de naissance des usurpateurs grecs n’ont aucun sens dans la langue pharaonique. Leurs rois et reines paraissent bien ternes et minables aux regards de leurs crimes, assassinats et intrigues de palais pour conserver ou pour prendre le pouvoir. Ils se moquent bien de la Maât (Déesse de Kémèt et symbole de la Vérité-Justice). C’est cela que nous allons développer et qui fait l’objet de notre article. [page]

> Les Crimes et les Intrigues

– En 336 av. J.-C, après avoir participé à l’assassinat de son père (roi de Macédoine) Philippe II, son fils Alexandre, âgé de vingt ans, réalisent les projets de guerre contre l’Empire perse, en pleine désagrégation. En 332 av. J.-C., Alexandre pénètre en Égypte.

– Après la mort d’Alexandre en 323 av. J.-C, son demi-frère Philippe Arrhidée, simple d’esprit, lui succède. Il est assassiné en 317 av. J.-C.

– En 321 av. J.-C., Perdicas, celui qui détient la bague-sceau d’Alexandre, est assassiné par ses propres officiers.

– En 317 av. J.-C., assassinat de Philippe Arrhidée (demi-frère d’Alexandre) et de sa femme par Olympias (grand mère d’Alexandre).

– En 311 av. J.-C., Cassandre, général d’Alexandre fait périr le jeune héritier (Alexandre IV, fils d’Alexandre) et sa mère Roxane. En 305 av. J.-C., Ptolémée Ier (Soter Ier, 305-282 av. J-C.), fils de Lagos, ami d’enfance d’Alexandre (un de ses généraux), règne en Égypte. Après sa mort, son fils Ptolémée II (Philadelphe, 285-246 av. J.-C.)) lui succède.[page]

– Arsinoé I, une fille de Lysimaque de Thrace, l’un des anciens généraux d’Alexandre épouse Ptolémée II. Une autre « Arsinoé » (Arsinoé II, fille de Ptolémée Ier) avait commandité le meurtre de l’héritier légitime du trône de Thrace afin qu’un de ses enfants succède à son époux Lysimaque, roi de Thrace. Mais ses plans échouent. Lysimaque meurt sur le champ de bataille. Son beau-frère Ptolémée Kéronos, écarté du trône d’Égypte, s’empare du pouvoir en Thrace. Il contraint sa sœur Arsinoé II, veuve du monarque défunt, à l’épouser. Si tôt le mariage prononcé, il fait assassiner les enfants qu’Arsinoé II a eu de Lysimaque. Exilée, Arsinoé II finit par regagner Alexandrie. Le pouvoir est alors entre les mains de Ptolémée II, son autre frère. Installée dans le Palais, Arsinoé II échafaude des plans ambitieux. Désireuse de s’asseoir sur le trône, elle intrigue contre la reine Arsinoé I avec succès (Arsinoé I est exilé en Haute-Égypte, à Coptos). Ptolémée II finit par bannir son épouse et il se marie avec sa sœur Arsinoé II.

– La sœur et le jeune neveu de Ptolémée III (Évergète Ier, 246-222 av. J.-C.) ), sont assassinés à Antioche.

– Bérénice II (Bérénice, fille de Magas, roi de Cyrénaïque) surprend sa mère avec son futur époux dans une situation pour le moins douteuse. Elle fait assassiner son fiancé, sans doute aussi pour d’autres raisons. En 246 av. J .-C., elle épouse Ptolémée III et devient reine d’Égypte. Comme beaucoup d’autres, Elle est dénuée de tout scrupule et elle est avide de pouvoir.[page]

– Lorsque Ptolémée III meurt en 222 av. J.-C., Bérénice II revendique aussitôt le trône. Son fils aîné et sa fille s’y opposent farouchement. Ils ne veulent pas lui abandonner le pouvoir. Après avoir éliminé leur frère cadet, le frère aîné et la sœur assassinent leur mère. Bérénice II est victime de son orgueil et de sa soif de pouvoir. Ses enfants n’ont fait que suivre l’exemple de leur mère. Arsinoé III, fille de Bérénice II, devient reine neuf ans plus tard. Elle épouse son frère Ptolémée IV.

– Des troubles éclatent en Égypte.

– Ptolémée IV (Philopator, 222-205 av. J.-C.), un an après son avènement, sur la foi d’une rumeur, il fait empoisonner sa propre mère et ébouillanter son frère Magas (populaire chez les soldats). Il élimine son oncle. Début du déclin de cette dynastie. Début d’importantes révoltes. A l’opposition Blanc / Noir , vient se rajouter une opposition Riches / Pauvres . Ératosthène écrit : « C’est la vertu qui prime, ce n’est pas la race ». (Livre sur Arsinoé III)

– Il recrute des mercenaires grecs et entraîne des troupes égyptiennes. Révoltes de recrues égyptiennes qui ont pris conscience de leur force.

– Ptolémée IV est éliminé. Sa sœur et épouse Arsinoé III est aussitôt empoisonnée. Son corps est incinéré en grand secret. C’est sous son successeur, Ptolémée V (Epiphane, 205-180 av. J.-C.) que sera rédigé ce que l’on a appelé plus tard « La pierre de Rosette » (décret des prêtres de Memphis, daté de 196 av. J.-C.) dont une copie fut utilisé par J-F Champollion pour déchiffrer les hiéroglyphes.[page]

– Ptolémée VI (Philometor, 180-164 et 163-145 av. J.-C.) est mortellement blessé au cours d’une bataille en Syrie.

– Ptolémée VIII (Evergète II, 170-163 et 145-116 av. J.-C.) fait tuer son beau-fils et neveu (héritier du trône) Ptolémée VII (Néos Philopator, 145 av. J.-C.). Il assassine Memphitès (un fils qu’il a eu avec Cléopâtre II ) et envoie à sa mère, comme cadeau d’anniversaire, le corps démembré de l’enfant.

– Ptolémée IX (Soter II, 116-110, 109-107 et 88-80 av. J.-C.) est accusé d’avoir voulu tuer sa mère. Il s’enfuit à Chypre.

– Ptolémée X (Alexandre Ier, 110-109, 107-88 av. J.-C.) est peut-être impliqué dans la mort de sa mère, survenue en 101 av. J.-C., à soixante ans.

– Ptolémée XI (Alexandre II, 80 av. J.-C.) fait assassiner son épouse un mois après son mariage. Le peuple, qui était attaché à la reine, le lynche dix-neuf jours après le début de son règne.[page]

– Ptolémée XII (Néos Dionysos, 80-58 et 55-51 av. J.-C.) gouverne grâce aux légions romaines. Sa fille, la reine Bérénice IV (58-55 av. J.-C.) fait étrangler son mari une semaine après le mariage. Quatre ans après, suite à des conflits, Bérénice IV est emprisonnée puis assassinée.

– Ptolémée XIII médite d’assassiner sa sœur, la fameuse Cléopâtre VII (51-30). Il se noie lors d’une bataille contre les Romains.

– Cléopâtre VII épouse son autre jeune frère. Soif de pouvoir et absence de scrupule caractérisent Cléopâtre VII. Elle devient la maîtresse de Jules César qui lui donne un fils, Ptolémée XV Césarion.

Jules César est assassiné. Cléopâtre VII est la maîtresse d’Antoine. Mauvais choix ! car Antoine perd la bataille à Actium face à Octave (futur Auguste). Le 1er août 30 av. J.-C., Octave arrive à Alexandrie.

Cléopâtre VII se suicide. Elle se fait mordre par un aspic.[page]

> La Laideur de Cléopâtre VII

La « beauté » de Cléopâtre est un mythe. Il y a une exagération indécente sur ce propos dans la littérature européenne, en particulier dans la littérature française. Nous pouvons même dire, à choisir, qu’elle était plutôt « moche ».

– Des yeux globuleux, héritage familial :

Les effigies des Rois et des Reines Ptolémaïques trahissent un globe oculaire exorbité. Pour un médecin, ces yeux sont les symptômes d’un profil clinique précis. Dans la bouche du peuple, on dirait que ces yeux sont globuleux (fortement exorbités). Entre le sommet de l’iris et la paupière, on aperçoit le blanc de l’œil qui est normalement caché. Ces patients souffrent aussi de troubles psychiques. Ils s’emportent facilement contre leur entourage. Les membres de la famille des Ptolémée, n’étaient pas commodes. Ils étaient agressifs, irritables et ils ont rarement acquis le pouvoir par des moyens pacifiques. On peut légitiment se demander si leur comportement est dû à cette maladie. Il s’agit d’un dérèglement hormonal héréditaire dont la perpétuation a été favorisé par la consanguinité des Lagides ( Lagide vient du mot Lagos, nom du père de Ptolémée Ier).

– Les pièces de monnaies :

Les monnaies offrent un portrait plus réaliste que les sculptures de Cléopâtre. C’est surtout le cas pour les monnaies frappées à Antioche qui montre une reine plutôt laide : yeux globuleux, face très joufflue, nez plutôt « fée carabosse »[page]

> La Révolte des Égyptiens

Il ne s’agit pas ici de faire une étude exhaustive des révoltes des Kamits (nègres de la Vallée du Nil) pendant l’occupation de Kémèt par cette dynastie étrangère (une étude sur toutes les résistances des Kamits sera proposée ultérieurement) . Il s’agit plutôt d’attirer votre attention sur le fait que même très affaiblis, il y eut toujours des révoltes nègres.

– Vous le savez certainement, grecs et égyptiens anciens ont très peu de chose en commun. Nous avons face à face deux cultures très différentes (pour ne pas dire « totalement différentes ») ; opposition ethnique : grecs (blancs), égyptiens (noirs). Les Kamits considèrent les « Ptolémée » comme des envahisseurs étrangers, venus avec des dieux étrangers. Pour les Kamits, les étrangers grecs et macédoniens sont des barbares. Ils ne connaissent pas « La parole du Dieu », c’est à dire les « Médou Nétchèr » (les hiéroglyphes ou gravures sacrées). Ils ne connaissent pas les subtilités de la langue des Kamits. Ils n’ont pas les mêmes croyances « religieuses ». Par exemple, ces étrangers ne pratiquent pas la circoncision, l’inhumation des défunts. Les Ptolémée sont perçus comme des usurpateurs du trône légué par Horus aux Kamits. Car le sacrilège est au paroxysme. En effet, l’un des textes sacrés de Kémèt, appelé « Le Livre des Portes », décrète que seuls les nègres (Rémétou c’est à dire égyptiens et Néhésiou c’est à dire Nubio-soudanais) sont sous la protection du dieu Horus. Les peuples sémites et européens ne le sont pas ! De plus, la déesse lionne Sekhmet est appelé à la rescousse pour marteler les âmes des Sémites et des européens.[page]

– Avec l’occupation ptolémaïque, la situation des Kamits de Kémèt est catastrophique. Les paysans égyptiens ne possède pas de terre. Ils doivent la louer à de propriétaires terriens d’origine grecque ! Les pêcheurs égyptiens payent également une redevance aux « maîtres » étrangers. Les grecs détiennent le pouvoir. Les Kamits sont des citoyens de seconde classe (d’ailleurs, ils ne sont pas citoyens grecs). Le couple royal usurpateur est le gardien des inégalités. Par exemple, ce sont les statues d’Arsinoé II et de Ptolémée II qui accueillent les voyageurs du monde entier dès l’entrée du port d’Alexandrie. Ou par exemple : à sa mort, la dépouille d ‘Arsinoé est incinérée conformément à la tradition grecque ; pour les Kamits, cette pratique est inconcevable. Ou encore : Ptolémée III ne se rend jamais en Haute-Égypte (sud de Kémèt).

– Arsinoé II meurt en l’an 270 av. J.-C. L’antagonisme entre les deux cultures éclatent au grand jour. Ptolémée IV meurt au plus fort du soulèvement populaire. Ptolémée V est encore très jeune : travaux à Edfou interrompus, chaos, finance de l’État exsangue, révolte en Haute-Égypte, révolte dans le delta ; tarissement de l’imigration grecque ; affaiblissement du pouvoir lagide ; pas de travaux à Karnak sous Ptolémée V. D’autres souverains étrangers profitent de la crise intérieure que traverse l’Égypte, pour s’emparer de ses possessions et de ses bases navales autour de la Méditerranée.[page]

– PIERRE DE ROSETTE :

« La pierre de Rosette » (écrit en hiéroglyphique, en démotique et en grec) est un des document que nous possédons et qui atteste les révoltes égyptiennes ; période de troubles en Égypte. Il s’agit d’un décret dit de Memphis dont la pierre de Rosette porte une copie. Il est daté du 27 mars 196 av. J.-C , sous Ptolémée V.

Depuis la fin du règne de Ptolémée IV, deux souverains Kamits rebelles (Horounnefer et ankhounnefer) se succèdent à Thèbes et aux alentours. Ils ont été couronnés à Thèbes et leur zone d’influence se porte sur toute la Haute-Égypte. Donc, la Pierre de rosette a été rédigée alors que le pays était divisé. Pour calmer la révolte, les Ptolémée offrirent de nombreux cadeaux aux Temples égyptiens. Ils firent de nombreuses concessions au peuple Kamit. Par exemple Ptolémée V donna or, argent et grains en grande quantité, ainsi que toutes sortes de biens au sanctuaire du taureau Apis. Ptolémée renonça aux arriérés dus à lui par les temples jusqu’à l’an 9. (Etc…). Ptolémée V demande en échange : la reconnaissance religieuse officielle de lui-même comme Pharaon à l’issue des rites de couronnement, à la place d’une simple soumission à son pouvoir.[page]

> L’importance du « Nom de Naissance » à Kémèt face au « Nom de Couronnement »

– L’une des raison du mépris des Kamits, pour ces étrangers nordiques, était le fait qu’ils ne connaissaient pas la langue égyptienne. Nous l’avons déjà dit. Chose très importante : Les Noms de Naissance des Rois et reines étrangers (usurpateurs) n’ont aucun sens dans la langue égyptienne.

Par exemple, Cléopâtre n’a aucun sens en langue égyptienne. De même, Ptolémée n’a aucun sens. Par contre, les Noms des Pharaons soudanais ont un sens dans la langue égyptienne (par exemple Piankhi signifie « le vivant » ; Chabaka signifie « celui qui commande l’âme et la force vitale » en simplifiant). En effet, il ne faut pas confondre dans la titulature royale d’un Pharaon un « Nom de Naissance » (Fils ou Fille de Râ) avec un « Nom de Couronnement » (Roi ou Reine de la Haute et de la Basse-Égypte) ! Car l’usurpateur se donnait très souvent un « Nom de Couronnement » égyptien. Par contre, il ne pouvait pas changer son Nom de Naissance.[page]

> En guise de Conclusion…

En plus de 5000 ans d’Histoire, Kémèt n’a pas connu le centième des assassinats, crimes et intrigues de Palais perpétrés pendant la courte domination grecque (environ 300 ans) ! ! !

Si nous rajoutons le mépris de la Grèce continentale pour la femme qui n’était pas citoyenne, les tyrans grecs, leurs guerres entre cités grecques, le suicide forcé de Socrate, etc…, les Grecs anciens sont biens médiocres face aux Egyptiens anciens.

Il y a certainement un autre chose qu’il faudrait aussi débattre avec ces historiens européens modernes et menteurs (il est vrai qu’ils ont tendance à fuir les confrontations) : la démocratie « inventée » par les grecs (sic), avait-elle un sexe ? Autrement dit : Peut-on parler de démocratie dans une société où la femme est totalement exclue des responsabilités ? La démocratie, a-t-elle un lieu spécifique pour exister (voir par exemple les peuples colonisés par les Grecs) ? demande-t-elle une race spécifique pour exister (voir le statut des non-caucasiens : L’étranger est systématiquement mis en esclavage…Aristote et Platon ont justifié l’esclavage…) ? peut-on mélanger démocratie et colonisation forcée ? Pourquoi chez les grecs anciens, le crime était plus fort que la démocratie ? Pourquoi à Kémèt, les grecs n’ont pas respecté la Maât (Vérité-Justice, Respect de la Vie, Equilibre cosmique, Equité…) ? Pourquoi ont-ils pactisé avec Iséfet et avec le démon Apopis ?

Et puis enfin, la question qui fâche le plus : peut-on parler réellement de Civilisation grecque ? Civilisation grecque ou Barbarie grecque ?

Imhotep