Après avoir tenté de créer un « troisième parti » ( l’US Labor Party ) aux USA, dont il fut le candidat en 1976, Lyndon Hermyle s’est porté candidat à chaque investiture démocrate : 1980, 1984, 1988, 1992, 1996, 2000, 2004.
Il est le fondateur de l’hebdomadaire ‘ Executive Intelligence Review ‘ http://www.larouchepub.com/pr/2008/080717soros_gems_africa.html.
Il s’attaque régulièrement à l’Empire Britannique qui à ses yeux, malgré sa décolonisation apparente, n’a jamais renoncé à l’impérialisme en Afrique et ailleurs.
Le 17 juillet 2008 ( E.I.R.N.S ), Les cartels Anglo-Hollandais du pétrole, des minerais stratégiques, et des diamants, ont pillé et dépouillé l’Afrique pendant des décennies depuis l’indépendance nominale de ce continent par rapport aux empires européens. Ils ont utilisé le renversement de régime et ont activé des guerres impliquant les armées privées de ces cartels, les forces spéciales britanniques et d’autres criminels « irréguliers ».
Ces dernières années, la destruction s’est intensifiée sous le couvert d’un mouvement de réforme guidé par cette même force impériale.
Ce mouvement vise à en finir avec la souveraineté nationale et à effacer définitivement tous les gouvernements africains résistants à ces forces. Dirigé par le spéculateur milliardaire et promoteur de drogue George Soros, en collaboration ouverte avec les cartels eux-mêmes, ce mouvement mène le continent vers le chaos, la guerre perpétuelle, le retard imposé, les pandémies et la famine non réprimées.
L’Open Society Institute et les entreprises de Soros liées à cet institut financent et dirigent un nombre considérable de milliers de groupes privés et d’agences acquises à la mondialisation, qui cherchent à renverser des gouvernements africains et à s’emparer des ressources naturelles de ce continent, au nom de la lutte contre la tyrannie et de la corruption. Une face de ce cauchemar est l’Initiative de Transparence des Industries Extractives ( Le sigle anglais est EITI ‘ Extractive Industries Transparency Initiative ‘ ).
Ceci a commencé quand l’organisation de George Soros connue sous le nom Publish What You Pay
( Publiez Ce que Vous Payez ), aidée en cela par la propagande de Global Witness, groupe financé par Soros, a exigé que des nations possédant les ressources naturelles de valeur soient obligées de céder aux cartels multinationaux et au gouvernement britannique, toutes les données de leurs transactions sur ces ressources, afin d’arrêter la corruption !
En 2002 à Johannesburg, le premier ministre britannique Tony Blair a annoncé qu’il avait accepté cette proposition de Soros. En 2003, Blair forma l’EITI comme une agence globale basée à Londres, avec le[page]
but d’y faire adhérer les Etats-Unis et d’essayer d’imposer la domination ouverte sur les ressources du monde.
Menées à l’origine par Shell Oil Anglo-Hollandaise, DeBeers, et Anglo-Américain, les sociétés participantes d’EITI incluent maintenant des compagnies d’extraction telles qu’AngloGold Ashanti, Barrick Gold, BHP Billiton, DeBeers, Freeport-McMoRan Copper & Gold, Gold Fields, Katanga Mining Limited, Newmont, Rio Tinto ; et des compagnies pétrolières telles Chevron, ConocoPhilips, Eni, ExxonMobil, Hess, Pemex, et Petrobras.
En 2006, le secrétariat d’EITI fut installé en Norvège et placé sous la gestion de Soros, avec de l’argent de l’Open Society Institute et des membres du conseil d’administration d’EITI venant des agences de Soros telles que Publish What You Pay, Revenue Watch Institute et Global Witness. Pour lancer EITI comme bras armé de Soros, Paul Wolfowitz ( un architecte de la catastrophe en Irak ) alors président de Banque Mondiale vint en Norvège et donna une conférence de presse sur la nécessité de diriger le « flux de revenus des industries extractives » vers « les pays en voie de développement. »
Les « diamants des conflits» ont fourni la puissance de propagande derrière l’initiative de Soros. Pendant que l’opinion mondiale était révulsée par les comptes rendus des guerres génocidaires pour les diamants africains, pour les gemmes employés comme devise par les mafias, les mercenaires, et les milices, Global Witness du groupe Soros, de concert avec les principales entreprises de diamant, a orienté la question des « diamants de sang » selon les objectifs de Londres. En 2000, le Conseil Mondial du Diamant a été installé à Bruxelles en Belgique, mené par DeBeers ( historiquement Cecil Rhodes/Rothschild ) de Londres et de l’Afrique du Sud ; par Maurice Tempelsman, agent de DeBeers, principal dirigeant de la Lazare Kaplan Diamond Company, entreprise basée à New York, et par le milliardaire israélien du diamant, Dan Gertler, et sa famille.
Les « réformes » du Conseil Mondial du Diamant relatives au pillage de l’industrie sont approuvées par le Global Witness et sont une partie intégrale de l’agenda de l’EITI. Né en Belgique, Maurice Tempelsman a commencé sa carrière anti-africaine dans l’ancien Congo Belge. Après le meurtre en 1961 du premier ministre nationaliste Patrice Lumumba, Tempelsman a engagé comme son agent de liaison avec le gouvernement de remplacement, l’ancien chef local de la CIA, Larry Devlin, qui avait reçu l’ordre d’assassiner Lumumba mais proclamait que d’autres l’avait fait. De sa base du Congo, Tempelsman a participé à la manoeuvre qui a abouti au coup britannique contre le Président nationaliste Kwame Nkrumah du Ghana.
Tempelsman devint le numéro un de la filiale américaine de DeBeers et du Cartel Mondial du Diamant de Londres.[page]
Tempelsman a vécu avec la veuve du Président John Kennedy, Jacqueline Kennedy Onassis, du milieu des années 70 jusqu’à sa mort en 1994.
Puissance du parti Démocrate de l’ère post JFK , à côté de Felix Rohatyn et de George Soros, Tempelsman est un directeur du National Democratic Institute, qui est une composante de la National Endowment for Democracy, institution qui finance Global Witness et plusieurs autres activités de Soros.
Le militant d’extrême droite israélien Dan Gertler est le petit-fils de Moshe Schnitzer, fondateur de l’industrie du diamant de l’Israël, et le neveu de Schmuel Schnitzer, vice-président du Conseil Mondial du Diamant, chargé de la liaison du Conseil avec les gouvernements et l’ONU.
Sous l’ère Bush-Cheney, Gertler a ravi à Maurice Tempelsman le rôle de représentant officieux du gouvernement des États-Unis au Congo.
En partenariat avec d’autres milliardaires israéliens et des politiciens de droite tels qu’Avigdor Lieberman, Gertler obtint de l’ancien Président Laurent Kabila du Congo d’installer un monopole de diamant en échange des armes israéliennes et de l’entraînement militaire. En 2006, Gertler a donné au trafiquant Londonien-Zimbabwéen-Sud-Africain John Bredenkamp 60 millions de dollars US, pour la propriété de mines au Congo, peu avant que le domicile et le bureau de Bredenkamp en Angleterre ne soit fouillé par la police dans le cadre de l’enquête ( vite avortée ) de corruption portant sur la marché d’armement de BAE Systems en Afrique du Sud.
Le deal de Bredenkamp a permis à Gertler de devenir le premier actionnaire de Camec, le géant londonien du cuivre et de extraction de cobalt au Congo. Avec cet appareil derrière lui, George Soros fait en Afrique ce qu’il a fait dans sa Hongrie natale en 1944, quand il a aidé les occupants nazis à l’extermination des Juifs.
( Communiqué de presse US du Mouvement Larouche. Texte et information divulgués par ce mouvement qui détient seul la responsabilité de ses propos ; En savoir plus, Lyndon Hermyle LaRouche, Jr. est le fondateur du Larouche Mouvement http://www.larouchepub.com/eiw/ )