SOMMAIRE
Introduction
Des Contradictions intolérables
Du Big Bang à l’Homo sapiens
Jean-François Champollion pose problème…
Conclusion
Bibliographie
Introduction…
Depuis le déclin des anciennes grandes civilisations de la Vallée du Nil, sciences et religions se sont souvent opposées.
On se souvient du mathématicien, géomètre, physicien et astronome italien du XVIIe siècle Galilée ( Galileo Galilei ), né à Pise en 1564 qui fut attaqué et condamné par les autorités religieuses. [page] Il dut prononcer également la formule d’abjuration que le « Saint-office » avait préparée :
« Moi, Galiléo, fils de feu Vincenzio Galilei de Florence, âgé de soixante-dix ans, ici traduit pour y être jugé, agenouillé devant les très éminents et révérés cardinaux inquisiteurs généraux contre toute hérésie dans la chrétienté, ayant devant les yeux et touchant de ma main les Saints Évangiles, jure que j’ai toujours tenu pour vrai, et tiens encore pour vrai, et avec l’aide de Dieu tiendrai pour vrai dans le futur, tout ce que la Sainte Église catholique et apostolique affirme, présente et enseigne.
Cependant, alors que j’avais été condamné par injonction du Saint-office d’abandonner complètement la croyance fausse que le Soleil est au centre du monde et ne se déplace pas, et que la Terre n’est pas au centre du monde et se déplace, et de ne pas défendre ni enseigner cette doctrine erronée de quelque manière que ce soit, par oral ou par écrit; et après avoir été averti que cette doctrine n’est pas conforme à ce que disent les Saintes Écritures, j’ai écrit et publié un livre dans lequel je traite de cette doctrine condamnée et la présente par des arguments très pressants, sans la réfuter en aucune manière ; ce pour quoi j’ai été tenu pour hautement suspect d’hérésie, pour avoir professé et cru que le Soleil est le centre du monde, et est sans mouvement, et que la Terre n’est pas le centre, et se meut.
J’abjure et maudis d’un cœur sincère et d’une foi non feinte mes erreurs. […] »
La Thora foisonne d’aberrations : c’est-à-dire elle contient de nombreux faits non-scientifiques et de nombreux faits non-véridiques. Citons par exemple « L’âge de l’Humanité et l’âge de la terre… ».[page]
Des Contradictions intolérables.
a) La THORA…
La Thora se veut précise sur la datation de la création des plantes, des animaux et de l’humanité elle-même – Adam et Ève – qui aurait eu lieu il y a environ 6000 ans. Elle nous donne des informations sur l’âge de ses patriarches et celui de leurs descendants pour aboutir à une conclusion incontestable selon elle : la possibilité, par exemple, de calculer l’année de l’origine de l’humanité dans le jardin d’Éden.
En effet en lisant la Thora, il est facile à tout un chacun de dater plus ou moins depuis combien d’années la Terre existe puisque depuis le début de la Genèse il est mentionné que « Dieu » a créé le monde en 6 jours. Le dernier jour, une fois que tout était prêt il a créé l’Homme. Le 7e Jour, il s’est reposé.
A partir de là connaissant l’âge d’Adam, et ceux qui ont suivi, dans la croyance que le livre de la Genèse compte bien que chaque jour compte 24 heures et qu’une année compte bien 365 jours, on estime que Bibliquement la terre est vieille d’environ 6 000 années à plus ou moins 100 ans d’erreur.
Pour être précis, l’entrée dans l’année juive 5777 ( Rosh Hachana ) a été fêtée le lundi 3 et mardi 4 octobre 2016. Les festivités débutaient dès le dimanche 2 octobre au soir, une journée juive commençant après la tombée de la nuit.
[ Note pour les puristes : 5777 ( hébreu : ה’תשע »ז , abbr. : תשע »ז ) est une année hébraïque qui a commencé à la veille au soir du 3 octobre 2016 et se finira le 20 septembre 2017. Cette année compte 353 jours. C’est une année simple dans le cycle métonique, avec un seul mois de Adar.
C’est la seconde année depuis la dernière année de chemitta. Le calendrier hébraïque de l’année 5777 donne les correspondances avec les dates du calendrier grégorien. ][page]
b) La SCIENCE…
L’âge de la Terre est, selon les connaissances actuelles, de 4,54 milliards d’années ( ± 1 % ). Cette datation repose sur des preuves scientifiques provenant de la datation radiométrique des météorites et se trouve cohérente avec l’âge des échantillons des plus anciennes roches lunaires et terrestres connues.
En 1956, Clair Patterson, associant ses connaissances en géochimie et spectroscopie, mesure la teneur en plomb d’une météorite ( Canyon Diablo ) ayant le même âge que la terre. Il estime alors l’âge de la planète à 4,55 milliards d’années.
Résumer l’histoire de la vie sur la Terre en une page est impossible… En 4,5 milliard d’années, des millions d’espèces sont apparues, se sont développées et ont finalement disparu. Et nous ne pouvons parler que des espèces animales ou végétales dont nous avons découvert des fossiles ou des traces ! Même aujourd’hui les scientifiques identifient et décrivent plus de 15 000 espèces par an… Parmi ce foisonnement, l’homme, ou Homo sapiens, n’apparaît finalement que récemment, il y a 200 000 ans. Si l’homme n’est qu’une seule des espèces sur les 8,7 millions d’espèces vivantes peuplant la Terre, c’est la seule dont les dégâts et les conséquences constituent un risque réel pour la planète et pour la vie.[page]
Du Big Bang à l’Homo sapiens.
a) Le Big Bang…
Tout d’abord, le fameux Big Bang, il y a 13,7 milliards d’années, puis la formation de notre système solaire, et donc de la Terre, il y a environ 4,55 milliards d’années. Pas de vie, mais une intense activité sismique et vulcanologique. La Terre n’est pas très… accueillante ! La planète va très lentement se refroidir et une partie de l’eau qu’elle contient va se condenser dans l’atmosphère. Une importante couche nuageuse va se former autour du globe.
b) La vie…
Dans les océans, protégés des rayons ultraviolets par la couche nuageuse, la » vie » apparaît il y a environ -3,85 milliards d’années. Cette première trace de vie unicellulaire est constituée de simples cellules d’organismes procaryotiques, les bactéries… Leurs descendantes sont toujours parmi nous… et on peut dire qu’elles sont vraiment les plus vieilles habitantes de notre planète !
Des structures bioconstruites apparaissent il y a 3,4 milliards d’années, les stromatolithes.[page]
A noter, plusieurs scientifiques développent une théorie selon laquelle la vie se serait développée d’abord dans le sous-sol avant de remonter à la surface de la planète. Elle aurait ainsi progressé, protégée des attaques extérieures comme les pluies de météorites, la lave ou les rayons ultraviolets…
Il y a 3 milliards d’années ce sont les algues bleues qui se développent. Elles sont les premières à produire de l’oxygène par photosynthèse. Cet oxygène est à l’origine de la couche protectrice d’ozone autour de la Terre.
Dans des strates géologiques datant de – 2,1 milliard d’années ( au Gabon ) on a découvert les premières formes de vie complexes ( pluricellulaires ). Ce sont donc les premiers eucaryotes : des organismes dont les chromosomes sont protégés dans un noyau.[page]
c) La vie… grouillante…
L’évolution de la vie sur Terre ( ou plutôt dans les mers… ) va s’accélérer, se multiplier, disparaître, se reformer différemment, bref, les formes de vie vont s’enchaîner à un rythme plus soutenu. Entre – 600 et – 544 millions d’années c’est la Faune d’Ediacara qui prospère : ce sont principalement des organismes avec un corps mou, sans squelette. Les traces qui nous en parviennent sont des empreintes de l’organisme laissées sur le fond de sédiments : sortes de méduses, coraux mous….
La Faune Tommotienne, vieille de 530 millions d’années est, quant à elle, caractérisée par l’apparition de parties solides chez plusieurs organismes. Elle ne durera « que » quelques millions d’années et l’on retiendra surtout des animaux en forme de tube, lame, coupole…
Apparue il y a 528 Millions d’années, la Faune de Burgess est d’une diversification et d’une richesse étonnante. Contrairement aux précédentes faunes, Burgess est représentée par des organismes très différents les uns des autres, dont certains ne ressemblent à rien de connu actuellement. La vie prend des formes dignes de films fantastiques ! Cette faune disparaît presque en totalité il y a 510 millions d’années.
Première extinction de masse il y a 440 millions d’années ( fin Ordovicien ) qui touche principalement les brachiopodes et les trilobites.
Vers – 420 millions d’années, des vertébrés commencent à coloniser les océans. Différentes sortes de poissons vont évoluer, avec ou sans mâchoire, dotés d’une carapace, cartilagineux ou osseux… La plupart de ces poissons ont disparu, sans descendance, mais on peut encore trouver le cœlacanthe dont les ancêtres étaient les crossoptérygiens.[page]
d) La vie animale et végétale… sort de l’eau…
Les plantes d’abord… 440 millions d’années en arrière, le sol est colonisé par des végétaux comme des mousses ou des lichens qui poussent à proximité de l’eau. Il faudra quelques millions d’années supplémentaires pour que ces premières plantes s’affranchissent de la proximité de l’eau en développant des racines.
Les premiers animaux à se déplacer sur terre semblent être des arthropodes ( famille des
scorpions ), des acariens, des myriapodes et d’autres insectes que l’on a retrouvés dans des couches géologiques datées de -410 millions d’années.
C’est véritablement il y a 375 millions qu’on voir apparaître des modifications sur le squelette de certains poissons : les nageoires sont rigidifiées avec des éléments squelettiques. Dans un premier temps ces « débuts de pattes » devaient apporter un avantage décisif pour se déplacer dans un environnement boueux et saturé de morceaux de plantes. Acanthostega gunnari faisait certainement partie de ces premiers tétrapodes qui ont « sorti la tête de l’eau »…[page]
Deuxième extinction de masse ( fin Dévonien ) il y a 365 millions d’années, où de nombreux ammonoïdes, brachopodes et poissons disparaissent.
Il faut attendre – 360 millions d’années pour qu’apparaissent des animaux capables de se déplacer véritablement sur terre… des sortes de reptiles colonisent les terres émergées. Sur la planète, tous les continents sont réunis en une unique masse continentale, la Pangée ( -300 millions ).
La plus importante des extinctions de masse ( Permien-Trias ), et la troisième, a lieu il y a 250 millions d’années. D’après les fossiles retrouvés, les scientifiques estiment que presque 90% des espèces auraient été éliminées. Si les trilobites ont définitivement été rayés de la carte, d’autres espèces ont subi des pertes importantes comme les vertébrés, les coraux et les céphalopodes…[page]
e) Les premiers mammifères
Il y a 230 millions d’années, les premiers dinosaures se développent pour un règne qui va durer pendant plus de 160 millions d’années… Parmi eux, Coelophisis l’un des plus anciens dinosaures connu qui vécu entre – 230 et -205 millions d’années.
C’est à partir des reptiles mammaliens qu’émerge la branche des mammifères, il y a environ – 225 millions d’années. A cette époque, un seul prétendant au titre de premier ancêtre des mammifères, Adelobasileus, un petit animal de 10 à 11 cm de long, qui devait se nourrir d’insectes ; les caractéristiques principales étant le sang chaud et les poils ( on est bien peu de choses ! )…
f) Avant-dernière extinction de masse…
Vers – 200 millions d’années, une baisse du niveau des eaux, une énorme explosion volcanique ou un événement extra-terrestrre sont peut-être à l’origine de la quatrième extinction en masse ( Permien-Trias-Jurassique ) de nombreuses espèces. Les océans se vident de leur faune, et seuls quelques reptiles mammaliens survivent… Les continents commencent à s’écarter progressivement les uns des autres, séparant ou isolant des espèces qui vont évoluer différemment.[page]
g) Les sauropsides…
Eh oui… c’est le temps des dinosaures… qui vont dominer la Terre pendant plus de 160 millions d’années. Ils occupent le terrain avec les crocodiles, les serpents et les lézards. Entre les pattes des gros dinosaures les mamifères, de très petite taille ( comme celle d’un rat ) semblent avoir trouvé une niche écologique.
Mais une intense activité volcanique et une énorme météorite qui heurte la Terre au Yucatan
( Mexique actuel ) vont avoir raison des dinosaures géants et d’un grand nombre d’espèces il y a 65 millions d’années… …C’est la cinquième extinction de masse ( limite Crétacé tertiaire ) qui va éradiquer 70% des espèces.
h) La montée en puissance des mammifères
Sans que la disparition des dinosaures ne soit forcément la seule raison, les mammifères vont prendre possession du terrain en 10 millions d’années et conquérir de nombreuses niches écologiques, en multipliant les espèces. C’est également à partir de ce moment que les mammifères vont véritablement croître en taille et que les placentaires vont se développer.
C’est vers – 60 millions d’années qu’on retrouve les premières traces de primates ou protoprimates. Le plus ancien à ce jour est Altiatlasius, qui a été découvert dans le sud du Maroc. D’un poids estimé de 120 grammes, Altiatlasius ne laissait pas présager la diversité et la taille de l’évolution de cette famille…[page]
h) Et l’homme dans tout ça ???
Eh bien l’homme, il prend son temps… et les premiers hominidés ne datent que de – 7 millions d’années… Le titre de plus ancien hominidé est actuellement détenu par Sahelanthropus tchadensis, qui vivait dans ce qui est l’actuel Tchad. Toumaï : son surnom est bien trouvé, car il veut dire » Espoir de
vie » dans un dialecte tchadien. Pour l’instant, une quinzaine d’espèces d’hominidés ont été décrites.
Quant à Homo sapiens, c’est-à-dire vous et moi… ses premiers pas sur Terre ont dû avoir lieu il y a environ 200 000 ans. Depuis cette époque, des espèces d’hominidés ont disparu, comme Néandertal, Homo floresiensis, ou l’homme de Dénisova. Nous sommes maintenant sur Terre les seuls représentants de l’espèce humaine…
Il faudrait en être digne, et ne pas continuer à saccager la faune, la flore, le climat, le sous-sol et tout simplement la Terre elle-même ![page]
i) Jean-François Champollion pose problème.
Jean-François Champollion dit Champollion le Jeune ou « l’Egyptien » ( 1790-1832 ), est un égyptologue français. Déchiffreur des hiéroglyphes, il est considéré comme le père de l’égyptologie moderne.
Dans l’ouvrage « Champollion, le savant déchiffré » d’Alain Faure, on retrouve p.566-567, le poids qu’exerçait encore l’Eglise sur les découvertes scientifiques du XIXème siècle : « Lorsqu’il reçut les gravures des obélisques qu’il devait corriger et commenter pour l’ouvrage demandé par le Pape,
« l’Egyptien » fut prié de donner l’assurance écrite qu’il ne publierait rien de défavorable aux Ecritures saintes dans ses travaux futurs. […] Champollion se trouva une nouvelle fois confronté à ce dilemme : transiger avec sa conscience ou refuser de se soumettre, au risque d’hypothéquer ses chances de fouler un jour le sable d’Egypte ».
C’est lors de son voyage en Egypte qu’il fera effectivement la découverte contredisant la chronologie biblique : « En quelques mois son œil exceptionnel est capable d’attribuer à chaque œuvre une date dans la chronologie égyptienne. Il voit aussi se confirmer une hypothèse redoutable, celle de l’extraordinaire antiquité de l’Egypte. Cette découverte il la tiendra « sous le boisseau » comme il l’écrit à son frère, car elle va à l’encontre de la chronologie officielle, dite « biblique » imposée aux historiens sous la Restauration, aucun monument ne pouvait être antérieur à 2396, date du déluge. Prudent Champollion ne tient pas à ranimer la querelle avec les tenants tout-puissants du clergé, même s’il a pu fixer l’époque des pyramides dans le courant du IIIème millénaire avant J-C. »[page]
( Le savant Jean-François Champollion. )
Nous rajoutons aussi ce que Richard Lebeau écrit dans l’introduction du livre de Champollion
( Lettres et journaux écrits pendant le voyage d’égypte ) : « … J’ai des résultats ( ceci entre nous ) extrêmement embarrassants sous une foule de rapports et qu’il faut tenir sous le boisseau ; mon attente n’a point été trompée et beaucoup de choses que je soupçonnais vaguement ont été ici un corps et une certitude incontestables » Quelles étaient donc « ces résultats extrêmement embarrassants ? » Pour l’essentiel, ils étaient d’ordre chronologique. « Malgré le véto de Rome et l’opposition du clergé protestant, les quinze dynasties précédant la XVIe revivaient, attestées par les monuments ou par les vestiges de monuments, et elles allaient revendiquer leur place dans les annales de l’histoire universelle, quelles que puissent en être les conséquences pour la chronologie biblique ; les découvertes faites par lui dans le domaine astronomique des Anciens rendaient caduque la chronologie égyptienne calculée à partir de 1000 ans avant J.-C. et qui avait eu cours jusqu’à-là ; l’Égypte, idolâtre en apparence seulement, possédait au fin fond de ses dogmes, délibérément masquée aux yeux de la foule jusqu’à être méconnaissable, une » notion de la divinité au moins aussi pure que le christianisme lui-même, surtout enracinée dans les principes de la Trinité « … Champollion était le seul à pénétrer la religion égyptienne ! Quels que soient les sites visités, il a relevé toutes les images des différentes divinités des temples, les inscriptions religieuses, les tableaux mythologiques, les instruments de culte, etc. afin de « connaître à fond l’ensemble du culte égyptien, source de toutes religions païennes de l’Occident » … et du christianisme.[page]
Conclusion.
Pour « sauver les meubles » et justifier les aberrations bibliques, voici l’explication des
« fanatiques » de la Thora :
« La raison pour laquelle ces six jours qui précèdent la création d’Adam sont en-dehors du calendrier, est que durant ces Six jours de la Genèse la mesure du temps est décrite différemment. » Il fut soir, il fut matin « , sans relation avec le temps humain. »
« Ce n’est qu’à partir d’Adam que l’écoulement du temps est exprimé dans la Bible en termes relatifs à l’homme. Adam et Eve vivent 130 ans avant d’avoir Seth, qui vit 105 ans avant d’engendrer Enosh, etc. ( Genèse chapitre 5 ). Depuis Adam, le flux temporel est un concept humain. Mais avant la création du premier homme, le temps est un concept abstrait ; » Soir et matin « , comme si on regardait les événements selon un point de vue cosmique. »
Nous refusons cette excuse car le problème demeure… car si ces fanatiques veulent faire correspondre les premiers jours bibliques aux 13,7 milliards d’années depuis le Big Bang, ils sont très loin du compte avec leur 5777 années juives contre les 200 000 années pour la création de l’homo sapiens !
Jean-François Champollion ( 1790-1832 ) établira l’antériorité des civilisations égyptiennes sur le déluge, sur la Bible et sur les civilisations grecques et romaines.
Ah, obsessions bibliques quand tu nous tiens !!![page]
Bibliographie.
Bible de Jérusalem
« Age of the Earth », U.S. Geological Survey, 1997
Lettres et journaux écrits pendant le voyage d’égypte, jean-François Champollion
L’Origine de l’Homme, Remi Pin, 2011, éditions ESI
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